J’ai signé la nouvelle proposition de loi de mon collègue Olivier FALORNI relative à l’accompagnement des malades et de la fin de vie.
Brusquement interrompus par la décision du Président de la République de dissoudre l’Assemblée nationale alors qu’un vote solennel était prévu le 18 juin, les travaux autour de cette proposition de loi doivent reprendre au plus vite.
A travers ses deux piliers, l’aide à mourir comme ultime recours, mais surtout le réinvestissement massif dans les services de soins palliatifs, cette proposition de loi répond à une attente forte : le droit de pouvoir partir comme on a voulu vivre, librement et sereinement.
Parce qu’être condamné par la maladie n’est pas synonyme d’être condamné à l’agonie, il est temps d’adopter une grande loi républicaine qui garantisse à chacun la liberté de choisir sa fin de vie.