En ce début d’année 2025 le football stéphanois a perdu deux figures emblématiques. Je tenais à rendre hommage à Pascal Palazon et Michel Faure, qui nous ont quittés récemment.
Hommage à Pascal Palazon :
Alors que ses obsèques sont déroulées, ce lundi 20 janvier, en l’église de Saint-François, je tenais à rendre hommage à Pascal Palazon, figure bien connue de l’Avant Garde de Saint-Etienne, mais au-delà, un homme apprécié et respecté par l’ensemble des acteurs du football ligérien.
Infatigable bénévole, œuvrant depuis cinq décennies au sein de son club de toujours auprès de jeunes pousses très souvent issues de milieux défavorisées, Pascal était un éducateur sportif et un dirigeant associatif exemplaire qui ne ménageait jamais ses efforts pour l’épanouissement de « ses enfants ».
Sa disparition brutale, à l’âge de 77 ans, va laisser un grand vide dans le monde du football amateur stéphanois.
À Boualem Lachi, son acolyte Président de la section football, à Geraldine Pétas, co-Présidente de l’Avant-Garde, à sa famille et ses très nombreux amis, je présente mes sincères condoléances attristées.
Hommage à Michel Faure :
Les mauvaises nouvelles volent en escadrille en ce début d’année.
Quelques jours après la disparition de Pascal PALAZON, c’est une autre figure du football stéphanois qui vient de nous quitter brutalement.
Michel FAURE, emblématique dirigeant et Président du Suc Terrenoire, s’est éteint à l’âge de 78 ans.
Pendant près de 40 ans, Michel aura été « l’incarnation » du club, de « son » club, dont il était encore Président d’Honneur. Il en fut le Président depuis la fusion entre l’O.C Terrenoire et le S.U.C Football en 1982… jusqu’en 2019 !
Il y a quelques jours encore, lors de la traditionnelle cérémonie de vœux organisée par le club sous l’égide de son actuel Président Frederic Cognet, Michel me confiait son grand intérêt pour les équipes engagées cette saison et sa confiance en l’avenir…
Sous le coaching de Michel, le SUCT a notamment brillé chez les jeunes, avec deux titres de champions de la Loire Élite, en 1985 et 1993, et deux coupes de la Loire en 1984 et 1986.
Bénévole hors pair, éducateur bienveillant, dirigeant fédérateur, Michel avait son caractère mais l’intensité de son engagement suscitait un respect et une admiration unanimes.
Sincère et généreux, il manque déjà aux abords du stade Gérard Farison.
À sa compagne Sylvie Paulet, à ses amis et à toute la grande famille du SUC, j’adresse mes plus sincères condoléances.