Samedi, nous étions plusieurs milliers de Stéphanoises et de Stéphanois rassemblés pour dire « NON ! » au projet de dissolution des associations de supporters de l’ASSE, unis derrière le slogan #LeChaudronNeSeDissoutPas !
En voulant s’attaquer à ses « ultras », c’est à l’immense solidarité de toute la ville de Saint-Etienne et du « peuple vert » que Bruno Retailleau va se heurter !
Sur le plan politique, la mobilisation se poursuit. Alors que les services du Ministère de l’Intérieur ont refusé d’entendre les 10 parlementaires de la Loire, qui en avaient pourtant fait conjointement la demande, nous serons quelques-uns à être reçus ce mardi par la Ministre des Sports, Marie Barsacq.
Anthony PERREL
À lire dans la presse :
Dissolution de groupes ultras stéphanois : rendez-vous mardi au ministère des Sports
Une réunion est prévue mardi pour étudier le cas de dissolution des groupes de supporters de Saint-Étienne. Le même jour, la ministre des Sports, Marie Barsacq, va recevoir des politiques sensibilisés à cette problématique.
« Une punition pour toute une ville » : face aux menaces de dissolution, la défense des ultras stéphanois s’organise
Les Magic Fans et les Green Angels, deux groupes de supporters de l’AS Saint-Étienne, organisent la riposte face à une procédure du ministère de l’Intérieur qu’ils jugent injuste et disproportionnée. Ils ont organisé une manifestation, ce samedi avant la réception du PSG pour la 27e journée de Ligue 1.
ICI 19/20 - Saint Etienne
Émission du vendredi 28 mars 2025
À Saint-Étienne, une ville et son club de football au chevet des supporters ultras
Plusieurs milliers de personnes se sont rassemblées, samedi 29 mars, pour soutenir les Magic Fans et les Green Angels, les deux principales associations ultras de l’AS Saint-Étienne, menacées de dissolution par le ministère de l’intérieur. Supporters, politiques et dirigeants du club regrettent une décision « disproportionnée et inefficace ».
Football, supporters : carton rouge pour Retailleau à Saint-Étienne
Nouvelle icône de la droite extrême et des sondages, le ministre Bruno Retailleau a enregistré sa première défaite. Elle lui a été infligée par deux groupes de supporters ultras de Saint-Étienne que le ministre de l’Intérieur menaçait de dissolution, appuyé en cela par une préfète épouse de son directeur de cabinet. L’homme de la place Beauvau a dû manger son chapeau. Un épilogue en forme de gifle, qui sanctionne sa navigation à vue et des déclarations au doigt mouillé. Enquête sur une tragédie politico-sportive en cinq actes.
Dissolution des ultras stéphanois : quels sont les enjeux du passage devant la commission consultative ?
Ce mardi 1er avril à Paris, les groupes ultras stéphanois vont enfin pouvoir s’expliquer devant la commission consultative. Trois options peuvent en découler, bien que le dernier mot soit pour Bruno Retailleau, le ministre de l’Intérieur, à l’initiative des procédures de dissolution engagées contre les deux groupes.
Les Stéphanois réunis pour sauver le Chaudron
La manifestation "Le Chaudron ne dissout pas" a réuni près de 3 500 personnes place Jean Jaurès. Une mobilisation sans précédent pour lutter contre la procédure de dissolution lancée à l'encontre des Magic Fans et des Green Angels.
Dissolution des ultras de l'ASSE : la gauche lyonnaise dit non
Alors qu'une manifestation a lieu à Saint-Étienne samedi 29 mars pour protester contre la dissolution des groupes de supporteurs stéphanois, la gauche lyonnaise leur a affirmé son soutien.
La Ministre des Sports va rencontrer des parlementaires ce mardi
Demain, les Magic Fans et les Green Angels se rendent dans la capitale pour passer devant la commission qui doit donner un avis, uniquement consultatif, sur la poursuite ou non de la procédure de dissolution des groupes. À noter que dans l'arsenal répressif qui est à la disposition de Bruno Retailleau qui prendra la décision finale, l'hypothèse d'une suspension des groupes sur une durée déterminée est possible.
La Ministre des Sports va rencontrer des parlementaires ce mardi
La journée de mardi s'annonce donc chargée, la commission devra rapidement rendre son avis au Ministère de l'Intérieur qui pourrait décider dès le lendemain, par décret, la dissolution des deux groupes ultras de Saint-Étienne.